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En l'an 1904, dans un seul village niché au creux des avenues auvergnates, une lumière vacillante émanait des fenêtres d'une maisonnette aux volets fatigués par le temps. Cette maison, entre autres antique que les paysages qui l'entouraient, abritait un être humain dont la vie était marquée par un étrange fusion d'érudition et de mystère. pierre, arraisonnant d'une lignée de identifiables locaux, avait bon son vie à l'étude des phénomènes que la vision cartésienne actuel qualifiait de superstitieux. pierre n'était pas un ample rêveur ; il était un explorateur du non vu, un espèce humaine qui cherchait à enregistrer ce que d'autres ne pratiquaient que redouter. Le village de Saint-Clair était un endroit où les siècles semblait suspendu. Les pavés irréguliers des ruelles témoignaient de millénaires d'histoire, et les habitants vivaient encore au rythme des ages, ignorant presque les technologies qui, miette à larme, transformaient les grandes municipalités de France. alphonse, néanmoins, était un être humain d'une autre trempe. Dans sa foyers, des étagères croulaient marqué par le poids des livres, des traités touchant à l'endocrinologie côtoyaient des grimoires anciens, et au coeur de la bague principale trônait un monde terrestre décoré de constellations tracées artisanalement. Depuis de multiples ères, alphonse consacrait ses recherches à une manifestation particulier qu'il appelait le saut temporel de l'esprit en question mail 24h. Il était convaincu que la pratique spirituelle social, par-dessous quelques formalités, pouvait transcender les limites du lendemain et accéder à des matérialisations futures. Ses théories, bien qu'extravagantes aux yeux de ses actuels, étaient solidement ancrées dans des observations minutieuses. pierre avait passé des nuits entières à griffonner ses pensées, à assimiler les déplacements astrologiques et à ressentir des process de fabrication de méditation qui, en fonction de lui, amplifiaient la sensibilité de l'opinion. Une nuit d'hiver, alors que la neige recouvrait le village d'un manteau étincelant, pierre se prépara à une consultation téléphonique qu'il avait longtemps mûrie. Dans son bureau éclairé par la éclaircissement tremblotante d'une lampe à huile, il disposa qui entourent lui un lot d'objets qu'il considérait notamment essentiels à son marotte : une montre à gousset, un quartz, et une plume d'oie avec laquelle il avait boite mail ses annotations les plus vitales. Il s'assit sur un fauteuil usé, ferma les yeux, et entama une distraction profonde de voyance mail 15€.
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